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L'histoire du Commandant Sarmont

Giuseppe Mariani

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Histoire RP :



Enfance :



Né à Midland (Texas, USA) en 1981, j’ai passé mon enfance à Fort Davis (Texas, USA) dans le ranch de mes parents. J’ai grandit dans un environnement très particulier :

Mon père était le Shériff du Comté de Jeff Davis, ancien sergent à l’armé, mon père est un vétéran de la guerre du Vietnam se nommant Joseph. Joseph a été très marqué par la guerre et d’après les personnes qui l’ont connu avant la guerre, elle l’a transformé. Avant la guerre, il était souriant, joyeux, sociable et très extravertie. Puis en rentrant du Vietnam, il était très peu bavard, sévère avec ses proches, calme et sans émotions comme si ce n’était plus le même homme. La guerre change les hommes, mais lui on avait l’impression qu‘il voulait se racheter de quelque chose…



Mon père a toujours était distant avec moi,

je devais le vouvoyer, l’appeler monsieur et si je ne le faisait pas je savais que mes prochaines heures passé dans ce ranch aurait été un calvaire…

Mon père a toujours rêver de devenir tireur d’élite mais malheureusement pour lui ses supérieurs ont jugés qu’il serait un très bon atout dans le commandement et non dans les tireurs d’élite. Il savait s’y prendre avec ses soldat et il était très respecté dans l’armé. Une fois dans la jungle Vietnamienne, il a sauvait une dizaine des ses hommes d’une embuscade très dangereuse des Vietnamien. A lui seul, il a tué 4 Vietnamiens et a réussi grâce à son sens de la stratégie et sa bravoure de repoussé un assaut Vietnamien et de sauver ses hommes. Il a obtenue la Silver Star pour son acte remarquable et lors de son retour au Texas, mon père a repris son poste dans la police avec une promotion à la clef.

Il était devenu le Shériff du comté de Jeff Davis, les gens nous respectaient dans la rue, à l’école mon père était vu comme un héro pour certains et pour d’autre un incompétent, un vendu,…



Ma mère était très proche de moi,

elle m’aidait dans les devoirs d’école, à la maison et n’a jamais été loin de moi quand j’en avais besoin.

Elle travaillait dans le ranch et lorsque mon père fut parti au Vietnam, elle s’occupait de tout le ranch à elle toute seule.



Mon enfance était assez compliqué, beaucoup d’enfant m’ont harcelé à cause de la profession de mon père. Il avait arrêté le père d’un de mes camarades, qui a été condamné à la peine capitale. Beaucoup d’enfant me tapaient, m’insultaient et un jour, mon père a été prévenue de ce qu’il était en train de se passer.

Il est venu me chercher, m’a regardé et il m’a dit « à partir d’aujourd’hui, je vais te faire devenir un vrai homme ».



Mon père m’a appris ce que c’était le tir, avec des entraînements intensifs, de la rigueur et beaucoup de tir sur des cannettes de bière. Ces entraînements là m’ont permis de m’améliorer en tir, mais aussi dans la vie. J’ai appris à être patient avant de tirer, réfléchir, savoir que chaque acte à une conséquence. Mon père disait toujours « Une balle c’est définitif ». Mon père m’a éduqué comme l’on éduque un soldat à l’armé, il m’appris à me défendre, à savoir se faire discret, à être obéissant ce qui a résolut la plupart de mes problèmes d’école. J’ai appris à me défendre mais surtout j’ai acquis un désir de justice.



Mon rêve dans la vie était de devenir tireur d’élite ce qui était aussi le rêve de mon père, il a tout fait pour que je le réalise. A seulement 8 ans, mon père m’a inscrit à mon premier tournois de tir que j’ai remporté avec peu de difficulté. Puis les tournois s’enchaînaient, week-end par week-end et à l’âge de 10 ans, j’ai participé au tournois de tir du Texas.

J’ai remporté ce tournois encore avec succès et depuis ce tournois là, les trophées s’enchaînent et je loupais même de peu le titre de champion des États-Unis avec une modeste 5ème place. A l’âge de douze ans, un soir comme les autres, mon père fut appelé en renfort pour trouver l’un des plus grand criminel du Texas : John Bama.

Au moment même où il a accepté la mission, je m’étais empressé de me cacher sur la banquette arrière de sa voiture de fonction. Mais je n’aurais pas dû, après une fusillade je vis mon père avec son arme en main et sa radio demandant des renforts. Il venait d’abattre le suspect mais il était touché lui aussi, et d’un seul coup sans prévenir, j’ai vu mon père se faire abattre par une balle en pleine tête. J’ai pu me cacher sous la banquette et attendre les renforts mais j’ai su à l’instant où j’ai entendu la balle que mon père était mort…








L’arrivé à l’armée :



Plusieurs années après la mort de mon père, j’ai continué à tirer. Il fut arrivé un jour où au concours de tir du Texas, un ancien Marines fut venu me parler. Il m’avait parlé de l’armé et de mon avenir dans l’US Marine Corps. Il avait su m’attirer dans cette branche de l’armé, après quelques discussions avec ma mère. A l’âge de 16 ans, je décide de me pré-inscrire à l’armé. Il me restait deux ans avant de partir à l’armé, j’ai su profiter de chaque fête, chaque moment avec mes amis,… Et en 1999, j’ai dit au revoir à toute mes amis, ma famille et ma copine et je suis monté dans le bus laissant tout derrière moi. L’armé était vraiment dur, mais dès les premiers test à l’armé, j’ai intégré le corps des tireurs d’élites des marines, l’entraînement était vraiment physique mais on en apprenait beaucoup sur nous même.



En Décembre 2001, suite aux attentats du 11 Septembre, je fus déployé en Afghanistan.

J’ai pu participé a de nombreuses opérations :



L’opération Anaconda (début Mars 2002), la où j’ai abattue mon première homme, un Taliban déchaîné qui allait tuer les hommes de ma compagnie que j’ai tué d’une balle en pleine tête.



L’opération Janaca (Juillet 2002), où j’ai pu voir l’ampleur des dégâts réalisés par les Talibans sur toute cette population Afghane.





Après une rencontre en Afghanistan, j’ai été affecté à plusieurs missions au Moyen-Orient. Celle-ci sont classé secret-défense, la seule chose que je peux dire, ce sont les pays que j’ai visité durant mon service :



J’ai participé à beaucoup de missions en Irak, Afghanistan mais aussi dans les autres continents comme en Asie, en Afrique,…



Un retour chez les Marines en 2007 fut effectué, avec un coup d’éclat au siège de la base Anaconda où j’ai tué avec mon spotter plus de 10 Talibans en moins de 6 heures. J’ai également participé à la bataille de Musa Qala entre le 7 et le 12 décembre 2007. Et le 13 Juillet 2008 à la Bataille de Wanat,

mon spotter et moi réussiront à repoussé les Talibans de justesse. Malgré nos blessures mon spotteur et moi continuons à se battre, grâce à la bravoure de tout les soldat sur place, l’offensive des Talibans fut raté. Mon spotter Ben et moi, on était félicité par un haut gradé de la maison blanche. Une Silver Star nous sera remise à notre retour prévue en 2009.



Lors de l’Opération Strike of the Sword (2 Juillet au 20 Août 2009), après déjà deux semaines plutôt mouvementé avec un nombre d’hommes tués exorbitant, le drame arriva. Ben et moi, on devait se poster le haut d’une colline mais durant le trajet, une balle me toucha la hanche puis une seconde toucha la tête de Ben. Après de longues heures d’agonies, les médecins sont venus me secourir. La nouvelle tomba, je ne pourrais plus servir mon pays dans l’armé.





Sa vie après la guerre : Après mon retour au Texas, j’ai été décoré de la Silver Star. Ensuite, avec ma femme, on a décidé de partir vivre en France. Les demandes de Visa ont été très rapide, pour beaucoup d’Américains, je suis l’un des meilleurs tireurs de tout les temps mais vu que je ne pouvais plus supporter la pression médiatique, j’ai décidé de partir en France. A la bataille de Wanat, j’ai également sauvé des français ce qui m’apporte un privilège en arrivant en France.






Sa vie en France :



En arrivant en France, on m’a proposé d’obtenir la double nationalité pour me remercier de mon acte de bravoure durant cette bataille. La nationalité m’a été accordé en 2012, j’ai pu rejoindre la police nationale en 2013. En 2016, ma femme venait d’accoucher de ma fille, on habitait dans une petite ville de Picardie et un jour, mon téléphone sonne…



Il fallait d’urgence que je rejoigne mes collègues car un homme armé aurait été aperçu près de la rivière. Après des heures de patrouille, l’homme a été aperçu proche de l’hôtel de ville, mes collègues et moi ont reçu l’ordre de abattre sans aucune hésitation.

Mon collègue ouvra le feu sur l’homme mais il s’est fait abattre avant de pouvoir le tuer, j’ai sorti mon arme de service et j’ai ouvert le feu. L’homme fut abattue par une balle qui s’est logé dans son cou. Malgré plusieurs tentatives de réanimation, notre collègue et amis succombe de ses blessures.



Mes collègues et moi ont été décoré par la légion d’honneur mais cela n’avait aucune importance, notre amis était mort. Après cet événement, j’ai déménagé quelques mois à Evocity avant d’arriver en 2017 à Pinescity.



Après 2 ans passé à Pinescity, je suis passé Major. J’ai eu l’espoir de pensé que la ville de Pinescity était plus calme que les autres mais malheureusement c’était pire. Les guerres de gangs entre la BoB, la BW, la Fastline,… m’ont montré la réalité des choses.

J’ai tout de même décidé de rester à Pinescity pour son cadre convivial, la police était devenu famille après celle des marines, ma famille s’était bien intégré et je me vois mal partir. Pour mes 38 ans, on m’avais offert un tableau qui représenté un soldat revoyant sa famille et c’est ce tableau qui m’a fait réaliser que je devais accomplir mon dernier rêve et tout faire , devenir commandant de police.

Malgré un premier refus, je n’ai pas été découragé, loin de là même. Après une remise en question, un passage au grade de capitaine et une nouvelle personnalité plus mature et plus réfléchie. Je décide de candidater à nouveau pour ce poste.

Et cette deuxième candidature, c'était la bonne. Je me fis accepter par les haut-placés de la ville et de la police. Je decouvre un métier totalement différent, j'ai du développer des compétences comme le leadership, acquérir de l'expérience et de nouvelles compétences. Désormais le commandant Sarmont est devenu un commandant simple mais il reste lui même.
Il est heureux dans son métier et aime son poste. Il espére désormais que ses efforts au sein de la police aideront à la rendre meilleure.
 
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