Retour sur la dernière dictature de PineCity.
étonnamment pas si lointaine que ça, la dernière dictature de PineCity a fait couler de l’encre. PineCity vous remémore cette partie de l’histoire ...
Nous sommes vendredi, la météo ce jour-là était belle mais laissait entrevoir des nuages noirs.
Bartelino Deuxième du nom venait d’être élu à l’unanimité en tant que maire.
Bartelino II était un homme bon, il va s’en dire. A peine arrivé au pouvoir qu'il mit des lois en faveur de la protection des citoyens. Des vitesses réglementées permettant de diminuer les risques d’accident de voiture, des articles de lois rendant prioritaires les services de secours et une mise en place de don pour les jeunes entreprises de PineCity, ci-dessous quelques-unes de ces fameuses lois.
Grâce à sa gestion économique, les caisses du gouvernement étaient bien remplies,
au point de financer un système de sécurité pour éviter que le garage de la police ne se referme sur les véhicules qui avaient le malheur de rester en dessous.
Malheureusement, si on creusait un minimum les lois, on se rendait compte que la suite n’allait pas être une partie de plaisir pour une partie de la population.
Si certains articles énonçaient une dictature, c’est que celle-ci était prévue depuis le début de l’élection.
Et il faut croire que notre maire fut bien préparé car cette dictature arriva.
Fatigué que sa population ne cesse d’être mise en danger constamment, n'obéissant pas à ses lois mis en place pour leurs biens et exténués de la différence de richesse présent à PineCity. Le Dictateur Bartelino II converti PineCity au communisme.
Complètement en roue libre, le communisme sauta comme une évidence dans la tête du dictateur.
Grâce à celle-ci, il put mettre en place “une police grande, une police RAID”.
Il était persuadé qu’avec une police solide, les citoyens allaient être plus en sécurité des malfaiteurs, plus aptes à écouter les lois misent pour leur sécurité.
Le dictateur comptait aussi rétablir l’équilibre des richesses, il demanda une escorte une voiture armée de raid derrière et devant son véhicule et se rendit au quartier riche, le quartier résidentiel. De là il fit une allocution dont la police se souviendra en voici quelque extrait :
En même pas quelques instants, les RAID se mirent à fouiller chaque maison, arrêter chaque personne pour les fouiller, vérifier qu’ils n’étaient pas un danger et qu’ils respectaient les égalités demandées par le gouvernement. On aurait dit des fourmis organisées et efficaces.
Ce jour-là, la première tentative d’assassinat contre Bartelino II, qui voulait absolument être présent lors des perquisitions, surprend d’un coup cette organisation.
Heureusement, nos fourmis RAID dispersées dans les résidences ont abattu le criminel avant qu’il puisse mettre un terme au communisme.
L’équilibre des richesses était sur la bonne voie mais la police se retrouvait confrontée de plus en plus contre des criminels armés qu’ils devaient abattre. Le dictateur étonné de voir que le peuple continuait de se rebeller contre ses lois mises en place pour leur bien-être décida qu’il avait fait plus de mal que de bien. Il stoppa lui-même sa dictature, balayant le communisme.
Bartelino II, redevenu simple maire, passa le reste de son temps à réparer les dommages qu’il avait engendrés dans la ville.
Il s'était rendu à l’évidence que les citoyens préféraient bien plus la liberté que la sécurité.
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