Bonjour, bonsoir,
Je commencerai ma réponse en ayant le même souhait et fairplay que Nem a eu à notre égard, c’est-à-dire que personne ne soit sanctionné.
Il me semble important de recontextualisé l’action dans son ensemble. Nous avons braqué l’entrepôt A en se répartissant en 2 duos. A savoir Ailin et moi-même et 2 autres de nos compères. Notre duo devait attaquer l’entrepôt par le front qui est situé en face du concessionnaire, tandis que l’autre devait attaquer par le flanc situé vers la fourrière.
Nous n’avons pas crocheté l’entrepôt mais nous sommes passé par le chemin entre la falaise et le bâtiment afin d’aller au jardin. Tous les occupants étant mort nous sommes allés sur le toit par un accès qui avait été fait par les précédents occupants.
Une fois sur le toit nous avons été surpris car la police, ici au moins 1 commandants et 2 agents sont arrivés par le même chemin sur le toit avec nous. Sur le coup mon collègue et moi avons été surpris qu’ils aient pu venir aussi rapidement et sans mandat sur la propriété d’autrui.
Toutefois à ma grande surprise c’est autorisé par le règlement de police, règle 1.8 qui dit grossomodo que le mandat est nécessaire pour franchir une porte, ici ce n’était pas le cas donc ils ont pu faire comme chez eux ou bien sur le domaine public.
On peut donc se laisser supposer que s’il n’y a pas besoin de mandat c’est qu’on est sur le domaine publique, et donc les constructions autour des entrepôts doivent être soumise à un Permis De Construire ?
Une fois les agents/commandants nous avons entamés des négociations avec 2 policiers. Nous avons réalisé l’entièreté des négociations en haut de « l’escalier » qui montait au toit, donc situé sur le bord du toit coté falaise opposé au concessionnaire. Cette position ne nous donné aucun visuel sur la route.
- Durant les négociations nous avons eu plusieurs requêtes. Nous avons voulu avoir le droit de récolter le jardin avant une reddition, refusé à juste titre d’un point de vue RP.
- Nous avons également voulu avoir de l’argent, notamment pour couvrir les frais d’armement, on nous a proposé 500€, on a demandé plus car nous savons que la limite serait de 1000€ dans ce cas, mais cela a été refusé car la police avait perdu 44k€ aujourd’hui (et donc se retrouvé au moment de l’action à 250k€ environ, 4h plus tard elle est de nouveau à 300k€).
- Une discussion sur la reddition a également été abordé, on nous a tout de suite parlé d’homicide, port d’arme illégal, vol à main armé. Ce à quoi j’ai répondu qu’on n’avait rien volé, et on m’a répondu qu’on le comptera quand même car j’en avais l’intention. J’ai l’intention d’être président et ce n’est pas pour autant qu’on me considère président. Ce fait ne devrait pas nous être reproché.
Quant à l’homicide, on pourrait jouer sur les mots et dire qu’ils n’ont pas de preuves que c’est nous et donc supprimé ce fait, mais cela n’avancera pas le RP et les interactions entre joueurs. Ailin a dit qu’on avait tué des gens en plus.
On nous a dit qu’aucune remise de peine est possible.
Ce que je vais dire ne dénonce pas un problème avec les joueurs de l’action mais du fonctionnement de la police.
Les négociations avec la police n’existent pas.
Sur plusieurs actions on nous refuse tout, on veut un colis de nourriture car l’action s’éternise, on n’a pas le droit, on veut partir du lieu avec un otage, on ne peut pas. Ce ne sont que deux exemples de ce qu’il peut arriver.
Mais les négociations avec la police se résume à « prends 1000€ par otage et tirons-nous dessus ».
C’est la conclusion de ma parenthèse.
Quand durant les négociations nous avons parlé de tous ces points, on a remarqué la présence de RAIDs. Pour moi quand on arme la police et qu’on demande l’intervention des RAIDs cela signifie qu’il va y avoir un assaut.
J’en conclus donc que nous sommes à la fin des négociations et n’ayant aucun moyen de pression avec mon collègue, les négociateurs ainsi que les policiers vont faire feu sur nous.
Un des négociateurs à traversé le toit pour aller sur le rebord qui donne à la route, puis 1min à 1min30 après le second l’a rejoint. Nous avons cru que cela représenté le début de l’assaut on a tiré plutôt que se faire tirer dessus.
Je pense que pour cette action chacun des deux parties a fait au mieux avec les éléments en sa possession.
Je conclus cette réponse en espérant que toute cette histoire se finisse au mieux pour les deux parties, que l’administration pour apporter des réponses à ce point de règle et que le point des négociations sera abordé au sein de police.
J’aimerai surtout garder la même entente, bienveillance et fairplay entre nous 4.
Bien cordialement,
Etienne Poney