Lama Saler
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Modèle demande de sanction
Toute demande ne respectant pas ce modèle sera directement refusée.
Nom du complaignant * : Lama Saler
Nom de l'accusé * : Enzo Smitch
Date et Heure de l'évènement * : 23 novembre 2023, aux alentours de 19h20
Lieu de l'évènement * : Magasin E
Explications * :
Lors d'une patrouille avec deux collègues [qui se sont déconnectés au bout d'un certain temps car l'action durait depuis longtemps], nous avons remarqué un magasin qui "vendait des armes" et qui s'appelait armurerie. Plusieurs annonces étaient faites dans le chat donc nous avons décidé d'aller voir. Dans l'optique de cesser ce buisness car il enfraignait la loi (Vente ou possession d'armes illégales), nous avons décidé d'aller voir l'homme qui gérait ce buisness [Enzo Smitch].
Sur ce fait j'étais accompagné de mes deux collègues qui sont partis par la suite et de Kahina Asido (nom rp). Après une longue discution où Enzo S. refusait de cesser son activité et était en pleine transaction avec un client, nous sommes sortis et il a fermé les portes. Après plusieurs demandes pour ouvrir les portes et continuer la discution durant lesquelles nous avons entendu : - "Je m'en fous il n'a aucune preuve, il n'a pas le droit d'être ici c'est interdit au policier" (à préciser que le magasin comprenait aussi un cuisinier).
Sur ces entre-faits nous avons demandé un mandat de perquisition pour enquêter sur les lieux qui contenaient (inévitablement) des armes. Sans réponse du prétendu armurier, Kahina Asido a mis une charge explosive sur la porte alors qu'au même moment, sans que nous le sachions, le vendeur avait ouvert sa porte. Après plusieurs discutions où le vendeur faisait délibérement du hors rp vocal en me disant "Je vais appeler des dieux", "Tu vas pas m'arrêter frère". A ce moment, Michel Artichaud décide de rejoindre l'intervention. Je menotte Enzo Smitch pour l'enmener au commissariat.
Il refuse de me suivre alors je le pointe avec une arme pour l'obliger à optemperé, ce qu'il refusera toujours de faire. Kahina Asido se met à discuter avec Enzo S. sur la légalité de l'activité de Enzo avant de parler des règles du serveur. Je continue à demander à Enzo de me suivre dans la voiture, je pointe mon tazer pour qu'il optempère. Artichaud et Asido me dise "non t'as pas le droit de le pointer il n'est pas une menace". La scène continue sur les discutions diasporiques des deux agents qui m'accompagnaient. Smitch et Asido s'isole dans l'arrière du magasin en discutant vocal hors rp. La scène se termine à l'exterieur lorsque Asido, Artichaud et Smitch me disent que je ne connais pas les règles de la ville et le réglement de la police ("Je suis plus haut gradé que toi je sais quand même ce que je fais" Asido, "J'ai 500 heures j'crois que je connais mieux les règles que toi". Artichaud). Smitch sera finalement démenotté et continuera son activité.
Il sera plus tard arrêter vers 19h40/45 pour les mêmes faits.
Ma réclamation concerne Enzo Smitch pour NoFearRP, HorsRP Vocal couplé à du MétaGaming (dans la mesure où Enzo utilisait à l'oral des informations que je donnais uniquement à l'écrit en OOC), mais aussi les deux autres agents présents dont le comportement fut particulièrement véhément ; si j'ai fait une erreur quelconque au sein de cette action je tiens à assumer la resposabilité de cet acte et me soumets à toutes les punitions qui pourraient m'être infliger.
Sur ce fait j'étais accompagné de mes deux collègues qui sont partis par la suite et de Kahina Asido (nom rp). Après une longue discution où Enzo S. refusait de cesser son activité et était en pleine transaction avec un client, nous sommes sortis et il a fermé les portes. Après plusieurs demandes pour ouvrir les portes et continuer la discution durant lesquelles nous avons entendu : - "Je m'en fous il n'a aucune preuve, il n'a pas le droit d'être ici c'est interdit au policier" (à préciser que le magasin comprenait aussi un cuisinier).
Sur ces entre-faits nous avons demandé un mandat de perquisition pour enquêter sur les lieux qui contenaient (inévitablement) des armes. Sans réponse du prétendu armurier, Kahina Asido a mis une charge explosive sur la porte alors qu'au même moment, sans que nous le sachions, le vendeur avait ouvert sa porte. Après plusieurs discutions où le vendeur faisait délibérement du hors rp vocal en me disant "Je vais appeler des dieux", "Tu vas pas m'arrêter frère". A ce moment, Michel Artichaud décide de rejoindre l'intervention. Je menotte Enzo Smitch pour l'enmener au commissariat.
Il refuse de me suivre alors je le pointe avec une arme pour l'obliger à optemperé, ce qu'il refusera toujours de faire. Kahina Asido se met à discuter avec Enzo S. sur la légalité de l'activité de Enzo avant de parler des règles du serveur. Je continue à demander à Enzo de me suivre dans la voiture, je pointe mon tazer pour qu'il optempère. Artichaud et Asido me dise "non t'as pas le droit de le pointer il n'est pas une menace". La scène continue sur les discutions diasporiques des deux agents qui m'accompagnaient. Smitch et Asido s'isole dans l'arrière du magasin en discutant vocal hors rp. La scène se termine à l'exterieur lorsque Asido, Artichaud et Smitch me disent que je ne connais pas les règles de la ville et le réglement de la police ("Je suis plus haut gradé que toi je sais quand même ce que je fais" Asido, "J'ai 500 heures j'crois que je connais mieux les règles que toi". Artichaud). Smitch sera finalement démenotté et continuera son activité.
Il sera plus tard arrêter vers 19h40/45 pour les mêmes faits.
Ma réclamation concerne Enzo Smitch pour NoFearRP, HorsRP Vocal couplé à du MétaGaming (dans la mesure où Enzo utilisait à l'oral des informations que je donnais uniquement à l'écrit en OOC), mais aussi les deux autres agents présents dont le comportement fut particulièrement véhément ; si j'ai fait une erreur quelconque au sein de cette action je tiens à assumer la resposabilité de cet acte et me soumets à toutes les punitions qui pourraient m'être infliger.
Désolé pour le texte fleuve qui sera probablement très embettant à lire et la possible "enquête" qui devra être fait suite à celui-ci.