Ray Willson
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Une DDS postée ne peut être retirée, cette action est définitive.
Les personnes non concernées ne sont pas invitées à y répondre sous peine de sanction.
Nom du complaignant * : Ray Willson
Nom de l'accusé * : @Kenzo Duboi
Date et Heure de l'évènement * : 09:50
Lieu de l'évènement : L'action à commencé *Zone de remorquage et a finit Escaliers du commissariat.
Explications * :
Je sortais de ma résidence pour aller vendre à Claudette lorsque mon véhicule est tombé à 1 % d’explosion. Je me suis alors arrêté sur la route. Une voiture de police, à l’arrêt, se trouvait là. Je me suis placé devant elle et j’ai demandé aux agents s’ils avaient 100 euros pour que je puisse réparer mon véhicule. Un des policiers m’a répondu non, puis m’a dit : "Casse-toi ou je t’écrase."
Étant donné qu’il s’agissait d’un policier — et qu’un policier n’est pas censé écraser un citoyen — je n’ai pas obéi. Il m’a alors écrasé une première fois. Ensuite, il a reculé. Un autre agent, un BACeux également présent dans la voiture, a dit à Kenzo : "Vas-y, écrase-le", et Kenzo l’a fait. Plutôt que de m’interpeller pour trouble à l’ordre public, j’ai été contraint de payer des soins à cause de leur comportement.
Course-poursuite :
Après cet incident, j’ai pu réparer mon véhicule et j’ai réussi à rattraper la voiture de police. Je me suis mis à côté d’eux avec mes feux de détresse allumés. Cependant, ils ont tenté de m’arrêter sous prétexte que j’étais à contresens. Une course-poursuite s’est alors engagée. Arrivés près du lac, Kenzo a percuté un arbre, est sorti de son véhicule, et m’a rafalé sans émettre le moindre cri de douleur ou autre signe de jeu de rôle. Il est remonté dans sa voiture comme si de rien n’était.
Il a ensuite réussi à faire exploser mon véhicule. J’ai donc été contraint de faire ce qu’il me demandait. Je suis monté dans leur véhicule. Une fois au poste de police, je me suis positionné contre le mur, etc. J’ai ensuite informé son collègue que je souhaitais une procédure rapide pour ne pas perdre de temps. Je me suis alors dirigé vers les cellules.
À ce moment-là, Kenzo m’a tiré une balle et m’a dit : "Qui t’a dit de partir ?", alors qu’il aurait pu me taser. Pour rappel, les trois outils à disposition de la police sont : la parole, le taser, et l’arme létale. En l’occurrence, je ne représentais aucun danger pour qui que ce soit.
Après m’avoir tiré dessus, il m’a ordonné de descendre. Comme je jouais mon Pain sérieusement, je suis descendu lentement. Apparemment, pour lui, ce n’était pas assez rapide : il m’a tasé et a maintenu son clic gauche, ce qui m’a fait perdre de la vie. Je suis donc mort alors que j’étais en train d’obéir à leurs ordres.
Une fois mort, Kenzo a dit : "Viens, on va le chercher au spawn. Vu qu’il veut nous faire chier, on va le faire chier."
Preuves :
Force à la personne qui va devoir prendre ma demande et devoir tout lire !
