Edwin Walker
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Edwin Walker n'était pas un homme ordinaire. Dans une ville où l’obscurité semblait s’étendre comme une ombre, il était connu pour ses actes troublants, un criminel au cœur noir. Les murmures des habitants évoquaient des histoires de disparitions mystérieuses et de crimes non résolus, tous liés à un seul nom : Edwin.
Tout avait commencé dans son enfance. Isolé et rejeté, Edwin avait découvert un pouvoir dans la peur. Il observait les autres, se nourrissant de leurs angoisses, apprenant à manipuler ceux qui l’entouraient. À l’adolescence, il avait franchi la ligne, commettant son premier acte violent. C'était un frisson irrésistible, un contrôle absolu.
Au fil des années, ses crimes s’intensifièrent. Il devint un maître du déguisement, se glissant dans les vies de ses victimes avant de disparaître dans la nuit. Ses actes étaient calculés, toujours un pas en avant de la police. Les enquêteurs, impuissants, commençaient à parler de lui comme d’un spectre.
Un soir, alors qu'il traquait sa prochaine proie, Edwin se retrouva dans une vieille maison abandonnée à la lisière de la ville. Les rumeurs disaient qu'elle était hantée, mais cela ne l’effrayait pas. Il avait vu bien pire. À l'intérieur, l'air était lourd de désespoir, et les murs murmuraient des secrets oubliés.
En explorant les lieux, il découvrit un ancien journal, appartenant à un homme qui avait disparu des années auparavant. Les pages décrivaient des rituels obscurs, des sacrifices destinés à invoquer des entités des ténèbres. Intrigué, Edwin se mit à lire à haute voix, ne réalisant pas qu'il était en train de réveiller quelque chose de maléfique.
Soudain, un vent glacial balaya la pièce, éteignant sa lampe torche. Les ombres prirent vie, des silhouettes indistinctes se formant autour de lui. Edwin comprit trop tard qu'il avait libéré les âmes tourmentées de ses victimes, condamnées à errer dans cette maison. Elles l'entourèrent, leurs visages déformés par la douleur et la rage.
Il tenta de fuir, mais la porte se verrouilla. Les murmures se transformèrent en cris, et Edwin, paralysé par la terreur, réalisa qu'il ne pourrait jamais échapper à ce qu'il avait créé. Les ombres se rapprochèrent, et dans un ultime effort, il saisit le journal et murmura une formule, espérant reprendre le contrôle.
Mais au lieu de cela, il fut englouti par les ténèbres. À l'extérieur, la ville ignorait ce qui se passait. Edwin Walker avait disparu, mais son nom continuait d’être chuchoté dans l'obscurité, une légende vivante, un avertissement pour ceux qui croyaient que la peur pouvait être maîtrisée.
Tout avait commencé dans son enfance. Isolé et rejeté, Edwin avait découvert un pouvoir dans la peur. Il observait les autres, se nourrissant de leurs angoisses, apprenant à manipuler ceux qui l’entouraient. À l’adolescence, il avait franchi la ligne, commettant son premier acte violent. C'était un frisson irrésistible, un contrôle absolu.
Au fil des années, ses crimes s’intensifièrent. Il devint un maître du déguisement, se glissant dans les vies de ses victimes avant de disparaître dans la nuit. Ses actes étaient calculés, toujours un pas en avant de la police. Les enquêteurs, impuissants, commençaient à parler de lui comme d’un spectre.
Un soir, alors qu'il traquait sa prochaine proie, Edwin se retrouva dans une vieille maison abandonnée à la lisière de la ville. Les rumeurs disaient qu'elle était hantée, mais cela ne l’effrayait pas. Il avait vu bien pire. À l'intérieur, l'air était lourd de désespoir, et les murs murmuraient des secrets oubliés.
En explorant les lieux, il découvrit un ancien journal, appartenant à un homme qui avait disparu des années auparavant. Les pages décrivaient des rituels obscurs, des sacrifices destinés à invoquer des entités des ténèbres. Intrigué, Edwin se mit à lire à haute voix, ne réalisant pas qu'il était en train de réveiller quelque chose de maléfique.
Soudain, un vent glacial balaya la pièce, éteignant sa lampe torche. Les ombres prirent vie, des silhouettes indistinctes se formant autour de lui. Edwin comprit trop tard qu'il avait libéré les âmes tourmentées de ses victimes, condamnées à errer dans cette maison. Elles l'entourèrent, leurs visages déformés par la douleur et la rage.
Il tenta de fuir, mais la porte se verrouilla. Les murmures se transformèrent en cris, et Edwin, paralysé par la terreur, réalisa qu'il ne pourrait jamais échapper à ce qu'il avait créé. Les ombres se rapprochèrent, et dans un ultime effort, il saisit le journal et murmura une formule, espérant reprendre le contrôle.
Mais au lieu de cela, il fut englouti par les ténèbres. À l'extérieur, la ville ignorait ce qui se passait. Edwin Walker avait disparu, mais son nom continuait d’être chuchoté dans l'obscurité, une légende vivante, un avertissement pour ceux qui croyaient que la peur pouvait être maîtrisée.
