Maxime Ward
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Nom du complaignant: Maxime Ward
Nom de l'accusé: X
Date et Heure de l'évènement: 15/12/22 à 11h20
Lieu de l'évènement: Résidence
Explications:
Je trouve qu’un manque de fair-play est présent lors de cette action car nous n’avons pas eu le temps de nous préparer à la fusillade car nous étions en pleine négociation de plus le propriétaire de la Résidence B nous fait rentrer dans sa Résidence alors que nous voulions simplement le mettre en prison donc il nous emmène dans son jardin de son plein gré pour pouvoir avoir l’excuse de nous faire abattre.
Après visionnage du REC concernant le ticket traiter par Julien White j’apprends que l’accusé a envoyé son top une fois que ses menottes aient été enlevé pour qui puisse ouvrir les portes MAIS je tiens à préciser qu’il était toujours pointé par une arme donc passer des messages à ses alliés je trouve que sa relève un peu du fear Roleplay.
Preuves: Les logs devraient suffir à prouver le rangement en action même si celui ci n’est peut être pas volontaire. Les logs pourraient prouver si oui ou non une alliance avec la Résidence C avait été passé par le propriétaire de la Résidence B.
Nom de l'accusé: X
Date et Heure de l'évènement: 15/12/22 à 11h20
Lieu de l'évènement: Résidence
Explications:
Résumé de l’action.
Je suis appelé aux Résidences pour une personne armée. Une fois sur place je prends en charge l’intervention et demande quelle Résidence est concernée. Les premiers policiers sur place me dise que seule la Résidence B est concernée par l’appel, un négociateur est donc envoyé pour parler avec le propriétaire. Une fois le négociateur revenu pour nous donner un compte rendu de la situation, le propriétaire de la Résidence B arrive à son tour pour nous dire que les personnes armées se trouvaient dans la Résidence A. Après quelque seconde le propriétaire de la Résidence B nous avoue qu’il possède aussi une arme ( en l’occurrence un crochet) et qu’il l’avait rangé, après lui avoir fait ressortir son arme je lui passe les menottes et m’apprête à l’arrêter. Une fois à la voiture, il me dit qu’il peut nous faire visiter sa Résidence pour la fouiller, j’accepte donc son offre et envoie en négociation mes collègues Résidence A car comme indiqué ci dessus l’accusé nous avait affirmé qu’une personne armée si trouvait. Enfin une fois arrivé jardin nous nous faisons tirer par dessus la palissade de la part de la Résidence C.
Conclusion.
Nous n’avons donc pas eu le temps de terminer les négociations avec la Résidence A car la Résidence C nous a tiré dessus en plein milieux de celle ci.Je suis appelé aux Résidences pour une personne armée. Une fois sur place je prends en charge l’intervention et demande quelle Résidence est concernée. Les premiers policiers sur place me dise que seule la Résidence B est concernée par l’appel, un négociateur est donc envoyé pour parler avec le propriétaire. Une fois le négociateur revenu pour nous donner un compte rendu de la situation, le propriétaire de la Résidence B arrive à son tour pour nous dire que les personnes armées se trouvaient dans la Résidence A. Après quelque seconde le propriétaire de la Résidence B nous avoue qu’il possède aussi une arme ( en l’occurrence un crochet) et qu’il l’avait rangé, après lui avoir fait ressortir son arme je lui passe les menottes et m’apprête à l’arrêter. Une fois à la voiture, il me dit qu’il peut nous faire visiter sa Résidence pour la fouiller, j’accepte donc son offre et envoie en négociation mes collègues Résidence A car comme indiqué ci dessus l’accusé nous avait affirmé qu’une personne armée si trouvait. Enfin une fois arrivé jardin nous nous faisons tirer par dessus la palissade de la part de la Résidence C.
Conclusion.
Je trouve qu’un manque de fair-play est présent lors de cette action car nous n’avons pas eu le temps de nous préparer à la fusillade car nous étions en pleine négociation de plus le propriétaire de la Résidence B nous fait rentrer dans sa Résidence alors que nous voulions simplement le mettre en prison donc il nous emmène dans son jardin de son plein gré pour pouvoir avoir l’excuse de nous faire abattre.
Après visionnage du REC concernant le ticket traiter par Julien White j’apprends que l’accusé a envoyé son top une fois que ses menottes aient été enlevé pour qui puisse ouvrir les portes MAIS je tiens à préciser qu’il était toujours pointé par une arme donc passer des messages à ses alliés je trouve que sa relève un peu du fear Roleplay.
Preuves: Les logs devraient suffir à prouver le rangement en action même si celui ci n’est peut être pas volontaire. Les logs pourraient prouver si oui ou non une alliance avec la Résidence C avait été passé par le propriétaire de la Résidence B.