Effectuer une demande de dé-bannissement
Modèle demande de dé-bannissement
Toute demande ne respectant pas ce modèle sera directement refusée.
Nom en jeu * : Philippe Warner
Raison du bannissement * : Freekill
Durée du bannissement * : 1 jours
Date et Heure de l’événement * : 25/08/21 et vers 20h00
Lieu de l’événement * : Résidence
Explications * :
Bonjour, quand l’évènement c’est passé j’étais sur le toit de la résidence E (que je braquais) quand j’aperçois une voiture de police arrive résidence je dis à mon collège (police en vue) ensuite le policier se gare et descend de son véhicule arme en main switch sur sa radio comme confirmé en ticket et il appelais des renforts pour la résidence C qui était la mienne (qui se fessait braquer) je prend l’initiative de tir sur le véhicule derrière lequel les policiers se cache puis ensuite je tir sur le policier que je vois. Sans le faire exprès j’ai tue un policer sans arme (malheureusement je ne le voyais pas) celui-ci n’a pas fait de ticket. Suite à cela ont m’a pris en ticket pour Freekill . Donc pendant le ticket Kevin m’a expliqué que j’ai tue un policier qui ne représente pas une menasse pour moi ni pour mes bien mais il en représentai bien une car il appelait des renforts pour la résidence C qui était la mienne. Mon intention était que le policier ne puisse pas appeler des renforts car sinon mais collègues qui défendent la résidence C aurait plus d’ennui. De plus je n’étais pas au courant qu’on ne pouvait pas tuer dès policier avec une radio car d’autres modérateurs me l’avais confirmé que c’était autorisé.
Je souhaiterais, une révision de la sanction entière (dont l'avertissement) parce que plusieurs fois, des modérateurs m'ont indiqué que les policiers avec des radios appelant des renforts représentaient une menace, je suis donc perdu entre les versions et ne comprend pas ce qu'il faut appliquer ou non.
Je tenais à m’excuser si il y a eu une mauvaise compréhension suite à l’action subi par le policier car nous aussi ont était perdu suite au braquage sur notre résidence pendant le notre.
Cordialement,
Philippe Warner